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Kalray coûte 24,4 millions d’euros pour la prochaine génération de

Kalray coûte 24,4 millions d’euros pour la prochaine génération de
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Kalray coûte 24,4 millions d’euros pour la prochaine génération de

Levée réussie pour la Kalray. Cette pépite française qui développe des puces pour l’intelligence artificielle a annoncé le 2 décembre 2022 être upstart à lever 24,4 millions d’euros dont 21,7 millions auprès d’investisseurs qualifiés et 2,7 millions via la plateforme PrimaryBid. Cinq investisseurs qui sont Calao Finance, un entrepreneur français, les fonds Definvest (Bpifrance), Sunny Asset Management et Financière Arbevel ont participé à la préparation du lancement des fonds à effet de levier sur les marchés.

Une nouvelle génération de processeurs

La pépite française fondée en 2008 se développe un nouveau type de processus Pour une gestion massive en parallèle, adaptée à la gestion par volée de grands flots de données pour des récompenses de décision critiques en temps réel. Les processeurs Kalray sont utiles pour le traitement des données aux niveaux du cloud et de la périphérie. En plus du processeur enfant DPU (Data Processing Unit), qui permet de gérer des charges de travail énormes et multiples, Kalray propose des cartes accélératrices, des solutions de logique de stockage et de gestion des données. Ils veillent à ce que les offres fils permettent d’améliorer l’efficacité des data centers.

« Le très large succès de cette levée de fonds va nous permettre de continuer notre croissance pour devenir un leader mondial, en particulier en procédant à de nouveaux recrutements et en investissant sur notre prochaine génération de processeurs »a commenté Eric Baissus, président du directoire de Kalray, dans un communiqué. Le Français souhaite renforcer ses effectifs sur des postes dans les équipes ventes, prend en charge la vente et la direction. Mais 80 % de cette levée de fonds va servir à la poursuite des investissements sur sa prochaine génération de processeurs dont la production est prévue à horizon 2025.

En début d’année, Kalray s’est lancé dans l’acquisition du britannique Arcapix afin de se renforcer dans le stockage et le traitement intelligent des données. Elle n’est pas la seule start-up française à vouloir percer dans le secteur des semi-conducteurs. Aniah modifie une logique de détection d’erreur de régulation électrique sur semi-conducteurs et Hummink et ajoute une imprimante 3D pour concevoir des semi-conducteurs. En toile de fond ? Un investissement massif de l’Union européenne et des Etats membres de délocaliser la production de ces composants essentiels vers un bon nom d’industries sur le territoire européen.

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